« Paris paye l’instabilité grecque »

Une simple phrase sortie de son contexte. FranceInfo. Lundi soir dernier. Chronique sur l’état de la bourse de Paris à la clôture. Dans l’extra-humain milieu de la haute finance, le drame social grecque s’euphémise, se déshumanise en « instabilité grecque ». Et ce qu’il y a à en retenir, pour nous français, et pour nos portefeuilles français plein d’actions françaises, c’est qu’on paye cette « instabilité », notre place financière chéries souffre de la crise sociale grecque! Enfoirés de grecques quoi.

Les lois de la finance sont incontestables, son cynisme inéluctable, son mépris du peuple inébranlable. Toute puissante finance animale amorale.

Le désastre sociale grecque met un peuple en péril, mais il y a bien plus grave, le CAC40 a chuté de 3,2 points! La Grèce est en solde, privatisant ses fesses pour un malheureux €uro, offerte aux vautours les jambes grandes ouvertes. C’est la crise peuple grecque, alors ferme là, et porte seul l’effort de la Nation, quand quelques uns se gavent des restes encore fumant de tes institutions à moindre coût.

Austérité! Qui se veut sévère, dépouillé, rigoureux dans les mœurs et dans les actes. Vomissons ensemble sur les souliers vernis de nos dirigeants politique qui veulent nous faire porter le poids d’une crise dont seuls eux mêmes et leurs cercles d’influence sont responsables.

Le jour ou l’on saura chier de l’argent ils croqueront tous dans la merde à pleine dent. Mais c’est en quelque sorte déjà le cas.

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